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Présentation
L'Equipe de Direction
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PRESENTATION

CONTACTS DIRECTS
ISJA_SOEUR_MBAYE-THERESE-HENRIETTE_PASTO
Responsable de la Tutelle
tutelle@isjadakar.com
Directrice du Primaire
secretaireprimaire@isjadakar.com
Conseillère Principale
d'Education Collège
cpe1@isjadakar.com
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Vice-Proviseure - Prog. SN
proviseuradjoint@isjadakar.com
ISJA_-MR-NIASSE--IBRAHIMA---PROF-MATHS.j
Conseiller Principal
d'Education Lycée
cpe2@isjadakar.com
ATTENTION !
A partir du 01/01/19, toutes les adresses mails de l'ISJA passent en ".com" (au lieu du ".sn". Pensez à corriger vos carnets de contacts.

Pour la rentrée scolaire de novembre 1939 s’ouvrait, à l’angle de l’avenue Maginot (devenue avenue Lamine Gueye) et de l’avenue de la République, l’Institution Sainte-Jeanne-d’Arc. Les bâtiments ne sont pas encore achevés et les 9 religieuses qui vont encadrer les élèves ne pourront s’y installer que le 2 janvier 1940 avec quelques pensionnaires.

LES ORIGINES

Cette construction correspondait alors à un réel besoin dû à l’augmentation sensible du nombre des élèves. Mais l’école Jeanne-d’Arc existait depuis longtemps : malgré l’interdiction des écoles congréganistes depuis 1904, les sœurs de Saint-Joseph-de-Cluny avaient ouvert une petit école « clandestine » à la rue Parchappe. En 1914, cette école avait 43 élèves de 3 à 13 ans. C’est en 1920 qu’elle prend le nom d’Ecole Jeanne d’Arc, afin d'insuffler audace et courage aux jeunes élèves.

D’ailleurs, après la guerre, l’orphelinat-ouvroir devenu également une véritable école dût abandonner la rue Parchappe et se transporter à la

Médina.

LES DEBUTS DE L'INSTITUTION A SON EMPLACEMENT ACTUEL

Le but était d’ouvrir une école secondaire pour jeunes filles. Dans la réalité, les élèves suivaient déjà un enseignement secondaire à la rue Parchappe : il y avait une 6e, une 5e, une 4e et une 3e. Il semble d’après les témoignages qu’en 1938, 3 ou 4 élèves étaient même partis au lycée après avoir fait une seconde à la rue Parchappe.

C’est en 1938 que la supérieure des sœurs de Cluny au Sénégal, mère Augustin, et sœur Marie-Joseph, demandent à l’administration l’autorisation d’ouvrir un cours secondaire rue Parchappe. Autorisation accordée par le gouverneur le 19 décembre 1938. Le bulletin des sœurs rapporte : « La mosaïque des pavillons et cours de la rue Parchappe s’avéraient insuffisants pour contenir le peuple enfantin dont le nombre augmentait sans cesse ».

Mais l’installation est retardée, le médecin chef du service d’hygiène de Dakar ayant refusé le certificat d’habitabilité provisoire demandé : les travaux sont loin d’être achevés ; adduction d’eau et branchement à l’égout ne sont pas effectués ; le « sous-sol à l’extrémité de l’avenue Maginot est inondé et ne peut être utilisé.

Le 5 novembre 1939, l’occupation « uniquement à l’usage des classes, entre 6 heures et 18 heures est accordée », pour les locaux terminés seulement. Le certificat d’habitabilité définitif ne date que du 9 juillet 1940. Il est certain que les bâtiments de l’époque n’étaient pas aussi importants que maintenant ; il n’y avait que le grand bâtiment qui fait l’angle et où se trouvent aujourd’hui les classes primaires (sans la partie du préau du primaire) ; l’internat et le logement des sœurs se trouvaient au dernier étage.

En janvier 1940, l’école compte 185 élèves du jardin d’enfants à la seconde, dont 8 pensionnaires....

L'EQUIPE DE DIRECTION

Photo à venir

ANNE-MARIE JAVOUHEY
Fondactrice de la congrégation des Soeur de Saint-Joseph de Cluny.

« La croix est plantée sur tous les chemins où passent les serviteurs de Dieu »

Luttant contre les obstacles qui ont parsemé sa route, elle affirmait que :

Anne-Marie Javouhey naît le 10 novembre 1779 à Jallanges (Côte-d'Or) en Bourgogne, en France, au sein d'une famille qui comptera dix enfants, dont quatre décéderont jeunes. En pleine Révolution française, elle se consacre à Dieu lors d'une messe clandestine. Adolescente, elle instruit les enfants pauvres de son village de Chamblanc et des alentours. Elle catéchise également et prie longuement devant l'oratoire familial qui se trouve dans le jardin.

 

Après avoir cherché sa voie auprès de congrégations religieuses, elle est encouragée par l'évêque d'Autun à rédiger en 1804 les règles d'une nouvelle union pieuse regroupant autour d'elle quelques jeunes filles, ainsi que ses trois sœurs, qui prononcent leurs vœux ensemble à l'église Saint-Pierre de Chalon-sur-Saône, en 1807. C'est la naissance d'une congrégation nouvelle, sous le patronage de Saint Joseph, pour s'occuper d'enfants pauvres.

En 1809, elle s'installe au grand séminaire d'Autun (actuel lycée militaire d'Autun) des classes mixtes afin de pourvoir à l'éducation des enfants issus du milieu pauvre.

 

En 1812, la congrégation s'installe dans l'ancien couvent des Récollets de Cluny, devenu bien national, qui est racheté par Balthazar Javouhey pour ses filles. La congrégation prend désormais le nom de Saint-Joseph de Cluny. La congrégation qui a pour but l'éducation va se faire remarquer à Paris pour sa qualité. C'est ainsi que les missions outre-mer vont démarrer en 1817. C'est, chronologiquement, le premier ordre de femmes missionnaires.

 

Elle établit des fondations en France et envoie des religieuses à l'île Bourbon en 1817, au Sénégal en 1821, en Martinique et en Guinée en 1822, en Guadeloupe en 1823

 

En 2010, les Sœurs de Saint-Joseph de Cluny sont plus de 3 000 sur les cinq continents.
 

Mère Anne-Marie Javouhey décède le 15 juillet 1851 à Paris. Elle a été béatifiée par Pie XII en 1950.

 

Elle est fêtée le 15 juillet.

HISTOIRE DE L'INSTITUTION

MERE PAUL

" Alors que la vie scolaire s'égrène régulièrement et de manière répétitive de septembre à juillet, celle-ci s'inscrit à la fois dans les souvenirs de chacun et dans leur substrat : La communauté éducative, réalisant le slogan inscrit sur un mur : ENSEMBLE.
Ensemble nous a été révélé le champ des sciences. 
Ensemble nous avons créé un univers poétique et plastique. Ensemble nous avons mûri dans les démarches de recherche. Ensemble nous avons prospecté le milieu des entreprises. Ensemble nous sommes entrés dans le développement durable. Ensemble nos horizons spirituels se sont élargis.

Que cet ensemble d'images réjouisse le coeur de tous car chacun est devenu autre au sein de "notre maison". Il a grandi en humanité."

Mère Paul Alméras entra à l'Institution Sainte Jeanne d'Arc en 1965, en tant qu'enseignante. Elle y resta jusqu'en 2008. Durant toutes ces années, elle fut Supérieure puis Directrice de l'Institution de 1987 à 2008. Elle reste ancrée dans les mémoires de nombreuses générations d'élèves. A la retraite, elle est retournée en France, à Cluny, où elle s'est éteinte le 29 décembre 2021.

SOEUR YVONNE

"Les sœurs de Cluny ont commencé cette école pour éduquer les enfants venus vivre au Sénégal. C’était à l’origine une école de filles. Les sœurs leur ont présenté Jeanne d’Arc comme un modèle afin qu’elles soient courageuses, audacieuses et bonnes chrétiennes, avec pour valeurs le respect, le travail bien fait, la tolérance, la discipline et les valeurs évangéliques.
Aucune différence n’était faite entre les élèves. Ce pourquoi nous avons opté à l’époque pour le port de la blouse, qui uniformise et efface les différences sociales, les différences de foi. Tout le monde trouvait sa place dans l’Institution. Jeanne d’Arc était (et reste, ndlr) une vraie famille.

J’y ai vécu pendant 18 ans… les anciennes me connaissent. J’ai beaucoup aimé travailler avec les élèves. Quand je suis venue en 1987, j’ai trouvé les valeurs citées plus haut. J’ai épousé ses valeurs pour les transmettre.

Je n’ai jamais quitté le Sénégal. J’ai été appelé à l’Institution par trois fois, de 1987 à 2002, de 2005 à 2008 et de 2014 à nos jours. J’ai beaucoup travaillé et fait travailler les élèves et je salue toutes les anciennes et tous les anciens qui sont passé par moi. Je salue toutes mes petites élèves…"

Sœur Yvonne Olakkengil - Dakar. Juin 2017

Soeur Yvonne a été rappelé à Dieu le 19 sept. 2022.
Ses funérailles ont eu lieu le 20 sept., à Pondicherry en Inde où elle était revenue.

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SOEUR MARIE BERNARD

Soeur Marie Bernard Hansberger a travaillé plus de 30 ans à Jeanne d'Arc, de 1970 à 2003. Elle était professeur de Français, Latin et Grec jusqu’en 1981 puis elle est rentrée en France. Elle est revenue en 1985. Sans tarder, elle a pris la direction du CDI jusqu’à 2003 puis elle fut transférée à la Medina. C’est également à son initiative que les classes Passerelle de l’Institution ont été créées en 1994. Depuis, ces deux classes permettent aux enfants à besoin particulier d’étudier tout en s’épanouissant au sein d’une structure traditionnelle. Sœur Marie Bernard en était la directrice jusqu’en 2003.

Soeur Marie Bernard a rejoint la maison du Père le 04 août 2020. Elle restera toujours dans nos cœurs et son passage à l’ISJA gravé à tout jamais dans l’Histoire de l’Institution.


Qu'elle exulte de joie devant le Seigneur et contemple la gloire de Dieu notre Père et prie pour nous, tous ceux qu’elle a connu, à qui elle a enseigné et surtout qu’elle a aimé. Son silence, sa simplicité, son efficacité et son savoir-faire avec discrétion resteront une leçon pour nous tous. Au revoir chère sœur, repose en paix. Amen.
 

LES SUPERIEURES DE L'INSTITUTION

Avant 1939

Mère Marie Joseph Rousselot

1939-1947

Mère Augustin Marty

1947-1948

Mère Jean du Calvaire (intérim)

1948-1954

Mère Louis Paillard

1954-1963

Mère Françoise Lieunart

1963-1972

Mère Xavier Goujon

1972-1980

Mère Jeanne Didion

1980-1986

Sœur Marie-Georges Spagnol

1986-1987

1987-2008

2008-2011

2011-2013

2013-2019

Mère Xavier Goujon

Mère Paule Almeras

Sœur Marie-Pierre Canevet

Sœur Antoinette Sarr

Sœur Anne Marie Ndour

depuis 2019

Sœur Thérèse Henriette Mbaye

LES CHEFS D'ETABLISSEMENT (partie en construction)

????-1994

1994-1997

1997-2002

2002-2008

2008-2011

2011-2015

2016-2020

2020-...

M. Bernard Henen

M. Henri Villefranque

M. Dominique Broquet

Mme Rayanna Tall

M. Dassonville

Mme Depardieu

M. Georges Oltra

M. Olivier Georges

LES DIRECTRICES DU PRIMAIRE (partie en construction)

000-0000

0000-0000

2005-0000

0000-0000

0000-2013

2013-2015

2015-2023

2023-...

Mme XXX

Mme Pons

Mme Christine Gros

Mme Catherine Sarabus

Mme XXX

Mme XXX

Mme Marie Christine Godet

Mme Marthe Woegan

Histoire de l'Institution

LE PROJET EDUCATIF DE L'ETABLISSEMENT - 2022/2025

Ce projet éducatif s’inscrit dans la continuité de celui élaboré durant l’année scolaire 2014-2015. Il est le résultat de trois sessions de travail (juillet, août et novembre 2021) qui ont associé l’ensemble de la communauté éducative. Il a vocation à être mis en œuvre et incarné par tous à partir de septembre 2022 pour une durée de trois ans.

I.    Notre identité

L’Institution Sainte Jeanne d’Arc de Dakar est un établissement scolaire sous la tutelle des Sœurs Saint Joseph de Cluny. C’est un établissement privé catholique biculturel, franco-sénégalais, partenaire de l'Agence pour l’Enseignement Français à l’Etranger (AEFE) dont il reçoit l’homologation depuis 1972.

En tant qu’établissement privé catholique de congrégation, il est membre de la Direction diocésaine de l’enseignement catholique de l’archevêché de Dakar dont le directeur diocésain est le déclarant officiel auprès de l’État sénégalais.

A la rentrée 2021, l’ISJA scolarise 1 956 élèves de la maternelle à la Terminale. La communauté éducative est composée de 95 professeurs et de 49 personnels administratifs. L’établissement est dirigé par un proviseur. L’ISJA comporte une entité post-bac autonome préparant des licences professionnelles qui est rattachée à l’Université catholique d’Afrique de l’Ouest...

Projet éducatif
Taux de réussite aux examens
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